D'origine Britanique, l'amstrad
a connu un succès historique en France. Son créateur est Alan
Sugar. L'amstrad est fourni avec un écran et le clavier est tout
de suite prêt à l'emploi alors que d'autres ordinateur comme le
Commodore C64, ou l'Oric ne sont utilisables qu'après le branchement
de plusieurs périphérique (lecteur de cassettes, télévision...).
Le hardware est une mise à jour du Sinclair Spectrum (Z80 à
3,5Mhz), le basic est une copie de l'Acorn BBC, et
le boîtier un plagiat en bonne et due forme de l'Entreprise
64. La puce graphique brillaient par l'inexistance
totale de fonctions et une gestion catastrophique de la mémoire
écran.
En 1984, sortira
sur ce modèle le CPC 464 (64Ko + lecteur Cassette incorporé (voir
photo)), le 664 (64Ko + lecteur de disquettes), le 6128 (128Ko
+ lecteur de disquettes). En 1986, il se sera vendu 1,2 millions
d'exemplaires. Mais l'Atari ST et l'Amiga deviennent enfin abordable
est l'Amstrad va bientôt couler. Malgré la sortie du CPC + en
1990 (avec des sprites hardware et une palette de 4096 couleurs),
Amstrad déposera le bilan dans les deux années suivantes.
Seule
surprise, un port cartouche qui laisse supposer une petite nouveauté
dans l'univers Amstrad. En même temps que les CPC+ sort la GX
4000, console de jeux bien décidée à concurrencer les machines
japonaises. Ces trois machines ne rencontreront que peu de succès,
écrasées pas la puissance des machines 16 bits et par les débuts
du PC en matière de jeux...
|